Rapport du stage sur route 2002

 

Samedi 6 juillet : Départ 9h30 du club, nous nous sommes arrêtés à Besse pour manger. A cause des bouchons sur l’autoroute, nous avons perdu beaucoup de temps et nous sommes arrivés en retard pour le départ de la course qui se déroulé à Arpajon-sur-Cère. Dès le départ fictif lancé, Quentin Rameau casse sa patte de dérailleur, il fera la course en voiture. La course partira très fort, puisque Martin (Cours la Ville Cyclisme) attaqua à plusieurs reprises dans les petites butes qui composa le parcours de cette dernière étape du Tour du Cantal. A l’arrivée le peloton se disputa la 3 ème place qui fut gagné par Aulas (CC Charlieu), Matthieu Béal termina à la dixième place, Maxime à la 13 ème place, Christophe à la 16 ème, Anthony à la 19 ème place. Nous obtenons le prix de la meilleure équipe, et Béal est le meilleur cadet 1 ère année de cette dernière étape de 73 km qui arrivait à Maurs.

Dimanche 7 juillet : Départ du gîte de Soulages-Bonneval à 10h00. Nicolas Cervantes toucha la roue de Béal et chuta sans graviter. Après 55 km, nous nous arrêtons manger du riz bien collant que Matthieu avait préparé le matin même.
Après avoir effectuer 104 km, nous arrivons au gîte de Chambon le Château en milieu d’après midi. Le gérant n’était pas bien sincère puisqu’il nous a fait payer un supplément de 3 euros chacun en plus du prix discuté. Mais ceci dit, le gîte était très bien et il y avait même la télévision .

Lundi 8 juillet : Le matin nous avons effectués 40 km avant de nous arrêter manger .Pendant le temps de midi, il y a eu une petite bataille de pommes de pins. Puis nous nous sommes arrêtés au mont Gerbier des Joncs. Quelques un sont montés à pied admirés le haut du mont Gerbier des Joncs. Après avoir effectués 104 km pour arriver à St Front, nous nous sommes installés dans le centre équestre. C’était la dernière nuit alors on a fait un peu les imbéciles.
On a mis le bordel dans une autre chambre. Les autres n’était pas très content. On c’est couché tôt pour se lever à 7h30 pour arroser d’eau Benoît et Quentin. Ils ont rien compris de ce qui c’était passé.

Mardi 9 juillet : Le lendemain de la bataille de pommes de pins on avait des courbatures au bras. Bref !Les jambes commencées a faire mal et les organismes étaient un peu fatigués. Au 56ème km, nous nous sommes arrêter manger au bord de la route entre St Sigolène et La Seauve. Suite à une bataille d’eau Benoît était un peu énervé. Le retour à St Etienne c’est bien passé et c’était une des première fois que le téléphone passait. On aura effectué 90km.

Conclusion :Bon stage, mais j’aurais pensé que l’on fasse les sorties en une fois, car pour l’organisme ce n’est pas ce qu’il y a de meilleur mais pour les jambes ça fait moins mal. J’espère que pour l’année prochaine on en fera un autre mais cette fois en vue d’une préparation d’un objectif important de la saison route.

                                                                                                                                                FAURAND Anthony